Cours à option

LA DERNIERE SOIREE

Une prise de vue du réfectoire pendant le souper. Les élèves se sont placés où ils le souhaitaient. Contrairement à ce que l’on peut voir par les fenêtres, au milieu du repas, un orage de pluie et de grêle a semé la zizanie parmi nous (vite, les fenêtres des chambres, regarde tous ces grêlons)… plus de peur que de mal, juste quelques habits mouillés.

ET PUIS ON A PU FAIRE LA FAMEUSE SOIREE DISCO !!!

“VOUS ÊTES FATIGUéS ???”

“ON N’EST PAS FATIGUéS !!!”

L’échauffement de la veille a payé ! Tout le monde a été facilement dans l’ambiance : d’abord la MACARENA (un classique, ça marche toujours, trop fort !), puis les pouces en avant et le schöner Tag ont aidé les néophytes d’Aarwangen a oser se lancer sur la piste de danse !

Il a fallu prendre soin de bien équilibrer les chansons (j’avais préparé une playlist avec plus de 6 heures de musique dans plusieurs langues, dont celles du camp de ski) et parfois, les deux côtés de la Sarine se retrouvaient à vibrer sur les mêmes mélodies.

Et pour finir, une dernière chanson choisie par les Barotchais (Les démons de minuit, qui l’eût cru !) et une par les Aarwangen, puis une dernière Macarena ensemble… Avant deux musiques douces pour celles et ceux qui avaient de la peine à quitter la piste de danse.

ET PUIS Zou ! AU DODO !

PETIT TOUR DANS LES CHAMBRES

Les photos ont été prises le mercredi soir, quand ils avaient bonne mine. Ils ne sont donc pas transpirants, les cheveux collés et le teint rougi par l’effort et les émotions pour certains, les yeux déjà ensommeillés pour ceux qui étaient déjà montés se coucher plus tôt…

Au deuxième, on trouve l’étage des filles :

On continue avec le premier étage, celui des garçons :

A l’heure où je vous écris, c’est déjà vendredi depuis un moment mais JOIE ! je suis déjà dans mon sac de couchage. Tout est calme dans le chalet, je n’entends que le bruit de la pluie qui tombe et de quelques personnes qui tapent les parois en se retournant dans leur lit. Ça roupille dans les étages. Quel soulagement, il n’a pas fallu faire les chouettes chevêches dans les escaliers, contrairement aux soirs précédents 😉 Deux, trois passages ont suffi pour faire baisser le niveau sonore et leur donner envie de rester blottis dans leur lit plutôt que de tenter une escapade dans les couloirs.